A première vue, l’on jure par tous les Saints de la contrée, qu’il est impossible que l’on puisse être dans une commune qui se situe au bord de la mer. Dès que les « marécages » produits par les pluies sont séchés, c’est de facto la poussière qui s’installe, commençant à suffoquer les gens et cendrer le paysage. Pourtant, La Senia, la fameuse Senia de tous les temps, le poumon économique d’Oran, ne manque ni de moyens et ni d’argents pour qu’elle puisse s’éviter la regrettable situation où elle se trouve … La Senia, c’est l’université, c’est l’aéroport international, c’est encore mieux, la Zone industrielle, peut-être la plus grande de la région. Que s’est-il passé au fait ? Cette situation aurait pu être justifiée, si l’on est dans une de ces petites communes pauvres et fraîchement désenclavées, de l’Algérie profonde. Il y a certainement, quelque chose qui ne va pas dans cette piètre situation. Bien sûr, le suivi et le contrôle n’existent pas, pour que l’on puisse exiger des comptes aux responsables locaux, sur les comment et les pourquoi. L’autre revers de la médaille, c’est la société civile qui annonce solennellement son absence. Donc, juste ces deux facteurs, sont suffisamment capables de dégénérer vers un tel état. Ni les électeurs – citoyens, ni les responsables directs ou indirects, ne sont là, afin de demander des comptes à ces gens qui bouffent des budgets faramineux, pour qu’à la fin, l’on aille se trouver avec une Senia travestie en Kandahar. Finalement, l’on se contenterait de dire que, La commune ou la daïra de La Senia ne devrait absolument faire exception, du moment que ce sont les mêmes réflexes, les mêmes mentalités, les mêmes techniques clopinantes de gestion qui sévissent partout ..Je ne sais pas, au fait, ce qui va empêcher les autorités municipales à renforcer les moyens d’entretien de la ville. C’est quoi au juste, doter la ville d’un réseau d’évacuation des eaux pluviales. Pourquoi les citoyens de cette ville n’auraient pas d’autres choix, exceptés les flaques d’eaux qui « tapissent » la voirie pendant la saison des pluies et la poussière pendant les saisons sèches ? Je me suis évité de passer dans les autres quartiers populaires et populeux à l’instar du faubourg d’Ain El Beidha et autres…Alors là, c’est une autre paire de manches… Si ce n’est pas les véhicules qui y circulent visiblement, l’on pourrait jurer que l’on n’a pas encore rejoint le vingtième siècle. La Senia est une des plus riches communes du pays. Elle aura donc besoin d’apprécier cette richesse, se reflétant sur la «bonhomie» son paysage urbain …Et….et, c’est tout.
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Par La Sénia le 30 Juillet 2013 à 17:48
Point de Vue: La Senia poussiéreuse
alkaderdz62@yahoo.fr
L'immeuble SELVA
L'école de garçons
Derrière Ecole de garcon
derrière ecole de garcon
Ecole de fille
Ecole de garçons
Ecole de filles
L'Escale Bar et le Cinéma
La rue principale en venant d'Oran
Le presbitère
La rue Principale au niveau de chez CORTES et RODENAS
La place de la Mairie
La place de l'église avec à gauche et à droite les 2 Kiosque Bernad et Margarita
Le Tramway qui traverse le village au niveau du presbitère
Le village nègre à gauche le Marché
Place de la Mairie
Station du tramway au niveau de l'épicerie Emelie
A gauche la maison AZORIN au fond l'immeuble SELVA
Rue principale,Avenue Guynemar,le Tramway à droite la maison surelevée exMaison RODENAS
Bar Cortes
devat la maison du curé et la cave des Lubrano
à droite en jaune la maison Azorin
Arret devant la maison du curé
Les travaux du tramway devant la maison Azorin
Bar ABADIE et au fond le kiosque Bernad et la mosquée (photo 2013)
Le Stade
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l'hydraulique
lhydraulique à proximité de la gare de La Sénia
au premier plan l'ancienne gare et vers la passerelle la nouvelle
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